Martinique
Qui ne pense pas, en cette période, échapper à la froideur hivernale pour retrouver le grand soleil à l’autre bout du globe ? Qui ne pense pas échanger les teintes grisâtres et mélancoliques avec celles d’un ciel bleu et dégagé ? Sans doute, cette idée nous traverse tous, nous habite voire nous obsède. Alors quand on se décide à vraiment y aller, il est toujours mieux d’anticiper.
C’est pourquoi, dans cet article, je vous emmène à plus de 6500 Km de Paris, tout en restant en France. Je vous emmène dans les Caraïbes, dans l’archipel des petites Antilles, en MARTINIQUE !
Du Nord au Sud, nous avons sillonné l’île, avec mon mari, pendant 10 jours à l’affût des plus beaux paysages, des plus belles plages et d’expériences humaines mémorables.
Au début, je ne savais pas à quoi m’attendre. J’étais même submergée par une appréhension : le fait de ne pas changer de pays, de langue et de culture laissait penser que je n’allais pas goûter au vrai dépaysement. Autant vous dire que j’avais tort !
Pour voir une autre idée de voyage en cette période —> ICI
// Infos pratiques //
La période propice pour aller en Martinique s’étend de Décembre à Mai. La température est clémente avec 25° en moyenne. C’est vers fin Mars que nous avons décidé de nous y rendre.
En fait, le gros avantage de cette destination est qu’elle est reliée par des vols directs depuis Paris. Critère important quand on ne dispose que de peu de temps pour rattraper le décalages horaire. La compagnie AirCaraibes proposait des prix dans la fourchette habituelle aux alentours de 450 eu. D’ailleurs, pour comparer les prix, je n’hésite pas à utiliser Skyscanner que je trouve efficace.
Se déplacer en Martinique ?
Afin de profiter des trésors de l’île en 10 jours, il est indispensable de louer une voiture. C’est le passeport liberté pour éviter de perdre votre temps à attendre un taxi qui ne passera peut être jamais ou un prétendu bus.
Cependant, soyez très vigilants car les routes réservent bien des surprises: des virages très (très) serrés, une signalisation presque inexistante, des pentes ultra raides par endroit et surtout des conducteurs allumés.
Si vous pensez loger autour de Fort de France, préparez vous également à subir les joies des embouteillages. Heureusement, ce n’est pas le cas dans toute l’île. Au pire, consolez vous avec les beaux paysages que vous aurez à traverser pour atteindre votre destination.
// Itinéraire //
10 jours en Martinique
L’objectif étant de visiter toute l’île, on se confronte rapidement aux questions importantes : Comment organiser le séjour ? Dans quelle partie de l’île loger ? Plutôt le Nord ou le Sud ? Quelles activités prioriser ?
En fait, nous avons décidé de scinder notre séjour en deux : une moitié pour découvrir le Nord et l’autre pour le Sud. L’idée est de rester à des distances raisonnables par rapport à notre hébergement qui de fait, était différent pour les deux parties.
Je me tiendrais de vous écrire un article détaillé sur le choix de l’hébergement en Martinique. Keep in touch !
Maintenant que vous êtes dans le contexte, je vous invite à découvrir mon carnet de voyage jour par jour.
JOUR 1 // Arrivée à Fort-de-France, direction le Nord : Grand-Rivière
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JOUR 2 // Randonnée Grand-Rivière – Anse Couleuvre
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JOUR 3 // Sainte-Marie et Grand-Rivière
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JOUR 4 // Direction le Sud – Escale aux plages de Trinité, Tartane et Anse l’étang
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JOUR 5 // Savane des pétrifications, Anse Trabaud, Grande Anse des Salines et village de Sainte-Anne
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JOUR 6 // Anse Dufour, Anse noire, Grande Anse d’Arlet, Anse d’Arlet, le rocher du Diamant et le CAP 110
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JOUR 7 // Jardin de Balata, Fort-de-France et son marché couvert, Anse Michel
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JOUR 8 // Excursion en catamaran: Baignoire de Josephine, îlet des Iguanes, Trois îlets.
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JOUR 9 // Anse Figuier et retour à Paris
// JOUR 1 //
Arrivée à Fort-de-France, direction le Nord : Grand-Rivière
Avec un peu de recul, je dirais que c’est la chose la plus folle qu’on ait jamais fait. Enchainer 3 heures de voiture après 9 heures de vol en prenant la route la plus escarpée et sinueuse de toute l’île , autant vous dire que j’avais les mains moites, la poitrine serrée et le ventre retourné.
En réalité, nous avons emprunté le chemin côté montagne en direction du Carbet, au lieu de faire un détour vers le côté le plus plat. La cause est le manque accru de signalisation et d’un GPS étourdi !
Cependant, côté paysages, nous étions généreusement servis. La transition de l’urbain vers la nature se fait au fur et à mesure jusqu’à plonger dans le silence de la forêt tropicale luxuriante.
A Grand-Rivière, nous avons décidé de passer 4 jours. A l’allure de ce village abandonné au bout du monde et en cul-de-sac, on se demande si on n’a pas mal fait de rester longtemps. Mais, croyez-moi, ce fut la plus belle expérience de tout mon séjour. Mon coup de coeur ultime. Cela mériterait un article en entier.
Pour le moment, il était temps de faire le check-in chez Tante Arlette, de bien manger et dormir pour se préparer à la grosse journée d’après.
// JOUR 2 //
Randonnée Grand-Rivière – Anse Couleuvre
C’est la première fois qu’on tente une randonnée aussi longue avec ses 6 heures de marche en moyenne. D’ailleurs, c’est la randonnée la plus emblématique de l’île, à ne surtout pas rater si vous êtes un fanatique des randonnées.
Cela dit, soyez sûrs de pouvoir tenir la durée, car passées les trois heures, avancer ou faire demi-tour revient au même. Dans un cadre tropical, où il arrive d’évoluer directement sous le soleil, l’effort est plus conséquent.
En tout cas, la récompense est au rendez-vous. L’émerveillement est constant tout au long de la randonnée avec cette végétation impressionnante mais aussi à la fin. La randonnée débouche sur une magnifique plage appelée Anse Couleuvre.
Toutefois, j’avoue que la surprise n’était pas à son paroxysme. C’est pourquoi, je vous recommande de faire la randonnée dans l’autre sens, c’est à dire, d’Anse Couleuvre vers Grand-Rivière. Vous l’aurez compris, elle se fait dans les deux sens.
Je trouve à la plage Sinaî un charme spécial, encore sublimé par le coucher du soleil. En plus, vous pourriez faire un tour dans le village, marquer un arrêt chez Tante Arlette, voire même y passer la nuit pour un retour en bateau le lendemain.
Côté organisation, il faut noter qu’en vue de la longueur de la randonnée, Il est difficile, pour ne pas dire quasi impossible, de faire le chemin aller et retour le même jour.
C’est pour cela, des transferts en bateau sont organisés depuis le point de retour (Grand Rivière ou Anse Couleuvre, tout dépend de l’endroit où vous décidez de commencer votre randonnée).
Dans notre cas, nous avons réalisé le retour en bateau avec le capitaine Omer de la compagnie « Au fil des anses », avec qui nous sommes rentrés en contact sur internet. Il vous suffit de lui communiquer l’heure approximative de votre arrivée à Anse Couleuvre ou à Grand-Rivière, et il vous attendra tranquillement à la plage.
En plus, au chemin retour, vous aurez droit à un petit bout de l’histoire de la Martinique et de ses anses magnifiquement contée par le capitaine.
// JOUR 3 //
Sainte-Marie et Grand-Rivière
En fin de randonnée, j’ai été sujette à plusieurs piqûres de moustiques qui ont eu le temps de former des cloques inquiétantes. Incapable de marcher, on a dû abandonner notre programme pour les deux jours suivants : notamment une excursion de canyoning aux alentours du Carbet et l’ascension de la montagne Pelée.
Ce qui était le plus inquiétant dans l’histoire, c’est de se retrouver un samedi soir, dans un village paumé, sans aucune pharmacie ni infirmerie, dans un hôtel ne disposant pas des premiers soins nécessaires et à une heure où tout est déjà fermé et à des années lumières de l’endroit où j’étais.
Bref ! Une urgentiste du SAMU habitant le village a pu me prodiguer les premiers soins et m’éviter une infection grave. UN MIRACLE !
Le lendemain, à la recherche d’une pharmacie de garde, nous avons atterri au village de Sainte-Marie. Un mal pour un bien, puisque ce fut une belle découverte, tant par ses paysages, ses restaurants sur la route que par son Tombolo.
Le Tombolo de Sainte-Marie est une bande de sable qui lie un ancien port avec la terre ferme. A marrée basse, cette bande est praticable à pieds. Depuis la petite île, on a une vue imprenable sur le bourg de Sainte-Marie.
Après cette petite halte, retour à Grand-Rivière pour observer l’un des plus beaux couchers du soleil, seuls à la plage, et pour changer les pansements (Ouch :-! ).
// JOUR 4 //
Direction le Sud – Escale aux plages de Trinité, Tartane et Anse l’étang
En réalité, nous n’avions pas prévu de nous arrêter à Trinité. La plage des raisiniers était tellement belle avec ses couleurs turquoises et ses palmiers que nous n’avons pas hésité à y faire une pause. Malgré le fait qu’elle longe la route, elle est très accueillante et presque désertique.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers la presqu’île de la Caravelle, située sur la côte atlantique. Au menu de cette journée, se prélasser dans les plages de l’île.
Mon coup de coeur de cette journée est la plage de Tartane. Avec ses bateaux de pêcheurs amarrés sur la plage, ses filets et ses cabanes colorées, elle avait un caractère authentique.
Plus tard, après une pause déjeuner chez La Tartanaise où nous avons dégusté de bons plats locaux, c’est à l’Anse l’étang que nous avons décidé de jeter les serviettes pour faire une bonne petite sieste.
Très belle plage avec beaucoup de charme. Bien prisée par les touristes mais on ne les voit pas trop. La présence des arbres cache un peu les gens qui s’y abritent à la recherche d’ombre. Pas besoin de parasol, donc !
Un moment de quiétude inégalé qu’on a dû interrompre pour rejoindre Sainte-Luce : notre deuxième hébergement pour la deuxième partie du séjour.
// JOUR 5 //
Savane des pétrifications, Anse Trabaud, Grande Anse des Salines et village de Sainte-Anne
Le titre en dit long sur O combien cette journée fut dense, remplie de belles découvertes et d’émotions. C’est, sans doute, l’une de mes journées préférées.
Nous laissons la voiture dans le parking des Salines, d’où nous commençons la marche jusqu’à la savane des pétrifications. Pensez à venir tôt car les places sont prisées en vue de la réputation de la plage.
La Savane des pétrifications est l’endroit le plus aride de la Martinique. C’est un lieu surprenant et insolite puisqu’on se croirait en plein désert avec un décor de sol rocailleux, de cactus et de sable ocre.
La randonnée se fait en 4 heures aller-retour jusqu’à la Baie des Anglais, en passant par l’Anse Trabaud. Le début de la randonnée se fait une fois que vous aurez traversé le petit pont.
Pour cette randonnée, en vue de la végétation quasi inexistante, prévoyez des casquettes, de la crème solaire et de l’eau. N’oubliez pas le maillot de bain, car vous serez certainement tentés par une baignade dans les eaux cristallines de l’Anse Trabaud.
Toutefois, sachez que les plages peuvent être envahies d’algues jaunes/oranges appelées sargasses en ces périodes. Ce qui peut vous décourager ou vous décevoir. Ce fut le cas au moment où j’ai été en Martinique. Cela n’enlève point son charme.
Après une bonne matinée de marche et d’immersion totale dans le désert de la Martinique, nous avons, tout naturellement, marqué la pause dans la plus belle plage de Martinique : Grande Anse des Salines.
C’est la plage carte postale. Longue de ses 2 km, c’est l’incarnation d’une plage de rêve avec son eau turquoise et calme, ses palmiers hauts et penchés et son sable blanc et fin.
Nous ne nous sommes pas privés de changer de place de temps à autre histoire de changer de point de vue. Croyez-moi, la couleur de l’eau change aussi.
Au chemin retour, nous avons fait une escale au village de Sainte Anne, déambulé dans les magasins de souvenirs pour se poser face à la mer. Un beau coucher du soleil s’offrait à nous, bien installés au Ti Cozy.
Sainte-Anne
// JOUR 6 //
Anse Dufour, Anse noire, Grande Anse d’Arlet, Anse d’Arlet, le rocher du Diamant et le CAP 110
Grosse journée en perspective, à la quête des plus belles plage de Martinique. Vous l’aurez compris, la partie Sud de l’île offre une panel de plages toutes aussi différentes les unes des autres. Cette journée en fut la preuve.
L’Anse Dufour et l’Anse noir sont deux plages côte à côte, connues pour être un bon spot de snorkeling. Et pourtant, tout y est très différent : le sable, le décor et l’eau. L’anse noir est incontestablement ma préférée.
En fait, c’est ici qu’on vient observer les tortues venues chercher l’accalmie des océans. Evidemment, on ne vient pas pour bronzer ni pour se baigner mais plus guetter la présence d’une créature extraordinaire.
Alors comme toute belle plage, bien prisée par les touristes, il est difficile de trouver une place. Autant venir très tôt pour profiter seul sans la cohue de la foule déguisée en masque et tuba.
Notre deuxième étape de la journée fut la Grande Anse d’Arlet. D’après ce que j’ai pu lire, on y observe également les tortues. Mais cette fois, rien à l’horizon si ce n’est des étoiles de mer.
Je n’ai pas attaché un gros intérêt à cette plage malgré son immensité. Contrairement à elle, la plage d’Anse D’Arlet offre un cadre plus chaleureux et attachant avec ses palmiers et ses bateaux de pêcheurs colorés.
En fait, l’Anse d’Arlet est connue par cette image emblématique du ponton axé avec l’église du village. En plus, son eau donne davantage envie de s’y baigner et de s’y prélasser.
Au chemin retour, on a décidé d’emprunter la route côtière pour marquer l’arrêt au rocher du Diamant et au mémorial du Cap 110. Ce lieu est particulièrement saisissant et les statuts émouvantes par l’histoire du lieu.
// JOUR 7 //
Jardin de Balata, Fort-de-France et son marché couvert, Anse Michel
Pour cette journée, nous avons échangé nos chaussures de marche avec une tenue plus urbaine pour découvrir Fort-de-France et ses alentours.
Tout commence au Jardin de Balata situé à environ 10 km du centre. C’est un Jardin botanique regroupant la biodiversité de l’île. Un parcours magnifique entre des espèces rares avec de belles mises en scène paysagères.
Ayant vu la plupart de ces espèces lors de ma randonnée Grand-rivière- Anse Couleuvre, l’effet de surprise était moindre. Cela dit, la visite en vaut le détour, ne serait ce que pour marcher sur les passerelles suspendues entre les arbres. Une activité parfaite en famille.
A Fort-de-France, pas d’intérêt particulier si ce n’est son marché couvert. Un lieu haut en couleurs, idéal pour faire de petites emplettes et pour acheter de bons souvenirs à ses proches, parfois insolites.
Pour information, on y trouve de la vanille pour pas cher.
Et si on faisait une petite halte à l’Anse michel ? Depuis Fort-De-France, avec le risque d’embouteillage, traverser île d’Est en Ouest avant le coucher du soleil fut un grand pari.
Plutôt réussi et sans regret ! Cette anse est littéralement un havre de paix. Située sur la côte atlantique, le vent y est un peu fort. C’est l’endroit idéal pour pratiquer le Kitesurf. D’ailleurs, vous y trouverez des agences de sports nautiques pour la location du matériel nécessaire.
Pour la baignade, elle aurait été parfaite si la plage n’était pas submergée de sargasses. Pas de quoi décourager mon compagnon.
// JOUR 8 //
Excursion en catamaran: Baignoire de Josephine, îlet des Iguanes, Trois îlets.
Il est difficile de parler de quelques chose qu’on a pas beaucoup apprécié. Cette excursion en fut une. J’ignore si c’est à cause du mauvais temps, de la non pertinence des endroits visités ou même dans mon désintérêt pour ce genre d’activité.
En tout cas, si je devais retenir deux moments marquants, ce serait la navigation en catamaran en mer déchaînée et la visite de l’îlet des Iguanes.
Les vagues étaient grandes que le catamaran s’élevait dans les airs pour retomber avec la vague qui nous éclaboussait le visage. Un moment excitant et inoubliable.
Le service à bord n’était pas exceptionnel et on y ressent vite la promiscuité.
// JOUR 9 //
Anse Figuier et retour à Paris
Le meilleur pour la fin ! Pour cette dernière journée en Martinique, c’est à l’Anse Figuier que nous avons passé notre matinée. Une plage paradisiaque, l’une de mes préférées avec la Grande Anse des Salines.
D’ailleurs, cette plage est beaucoup fréquentée par les locaux qui viennent se baigner et pique-niquer. Ce qui lui donne un charme fou.
Je vous trouve un charme fou,
HOSHI – Je vous trouve un charme fou
Ce petit je ne sais quoi moi, qui va me rendre flou.
Hello Boutaina !
Super article qui me rappelle mon propre voyage en Martinique il y a des années… J’étais sur l’anse d’Arlet et j’ai vu quelques endroits que tu mentionnes dans ton article. Tes photos me remmènent un peu en voyage 🙂 C’était une superbe destination, je rêverais d’y retourner !
Coucou Pauline !
Merci pour ton commentaire. Oui, je suis d’accord. C’est une destination attachante.
J’y suis allée l’année passée une semaine, c’était un petit peu trop court, 10 jours me semble mieux approprié. J’avais adoré le nord et Grand-Rivière <3 ! J'aime tant les Caraïbes ; j'en reviens tout juste encore pour dire !
Ps : je suis allée suivre ta page fb pour voir les actus 🙂
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Oui j’avais vu ton article qui était là pile poil au bon moment. J’avais beaucoup d’appréhension et ton article m’avait aidé à sauter le pas. Je dois dire qu’aujourd’hui j’en suis nostalgique. Grand Rivière fut mon grand coup de coeur aussi avec la savane des pétrifications et l’anse figuier moins connue et touristique.
Merci pour le suivi. 😉
Je vais en Martinique en avril 2020. Ton article et tes commentaires sont très pertinents pour la préparation de ce beau voyage. Je suis déjà allée avec mes parents lorsque j’était très jeune mais c’est un rêve pour moi d’y retourner. Merci pour tes conseils.
Julie
Merci pour ton passage Julie. Contente que mon article t’aide pour ton prochain voyage. J’espère que tu y passeras un bon moment.